S'il faut l'image d'une seule victime des monstres de la terreur pour réveiller des consciences timorées ou apathiques, j'ajoute modestement en traits de feu le cri d'un père qui perd trois fils tués par une roquette aveugle. Avec lui et toutes ces innocentes victimes, si solidaire, si proche et si démuni, mon arme : mon modeste pinceau crie avec eux pour que les racines du mal expient.
Jean-Pierre Beillard 12/09/2015
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